Les prélèvements et la consommation en eau sur le plan de l’agriculture ne cesse d’augmenter de manière fulgurante. Les prélèvements d’eau en 2000 étaient de 2 600 kilomètres cubes alors qu’en 1 900 seulement 500 kilomètres cubes ont étaient utilisé. Pour 2025 l’augmentation de ce chiffre est prévu à 83.9 points. La consommation a elle aussi beaucoup évolué étant de 300 kilomètres cubes en 1 900 et sera normalement, en 2025, de 2 200 kilomètres cubes.
Les besoins en eau destinés à l’usage domestique sont passés de 100 kilomètres cubes en 1900 à 800 kilomètres cubes 100 ans après. Ces prélèvements ont étaient calculés de telle sorte qu’en 2025 presque 1 200 kilomètres cubes seront prélever pour servir le domaine domestique. La consommation, quant à elle, devrait se multiplier seulement 3 fois pour 125 ans.
Les besoins en eau liés à l’utilisation industriel sont les plus faibles, en effet les prélèvements devraient être de 650 kilomètres cubes en 2025 étant « déjà », en 1900, à 25 kilomètres cubes. Mais par rapport à la consommation, ces chiffres présentent une grande augmentation car celle-ci, concernant l’industrie, ne dépassera pas les 100 kilomètres cubes pendant encore plus de 10 ans.
L’eau peut en effet être prélevée, consommée, recyclée (ou rejetée dans les rivières et dans les nappes phréatiques) et réutilisée plusieurs fois de suite. Les prélèvements augmentent beaucoup plus vite que la consommation (usage « final » de l’eau qui ne peut plus servir à aucun usage ultérieur), ce qui montre une intensification de l’utilisation de l’eau. Les pertes par évaporation ne représentent qu’une fraction de ce qui est prélevé.